dimanche 29 mai 2016

«Si l'on voulait caricaturer, on dirait de la femme qu'elle est aujourd'hui juridiquement dépendante de son mari ivrogne, moralement dans les mains boudinées de son confesseur et quotidiennement soumise à ses enfants ingrats. Sans droit de vote, elle demeure pour la société une femme enfant que les hommes voient comme une première communiante attardée.»

Landru, précurseur du féminisme : correspondance inédite 1919-1922Henri-Désiré Landru  et Jean-Baptiste Botul. Mille et une nuits (2001)

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