mercredi 8 octobre 2014

«On avait connu les paradis de la chair de Titien, Tintoret, Véronèse, Rubens, les constellations de femmes nues offertes aux souverains catholiques. Le monde déraidi, comme dit subtilement Claudel, où passe le souffle de l'esprit, où s'ouvrent les chemins de la nuit obscure et des estuaires du ciel. Les émissions vénitiennes de lumière laser d'un côté, de l'autre les féeries dans le puisard de Bosch ou Bruegel. Cocagnes et tentations.»

Le XIXe siècle à travers les âgesPhilippe Muray. Editions Denoël (1999)

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire