«Il en est du vulgaire comme des chiens : faute de connaître la cause de son mal, ils jettent sa rage sur l'instrument ; en sorte que l'instrument porte la peine d'un mal dont il n'est pas la cause principale.»
L'art de la prudence. Balthasar Graciàn. Rivages poche, petite bibliothèque (1994)
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