mercredi 29 mai 2019

Réminiscence personnelle (37)

«[...] je ne fais et ne saurais faire l'amour pour l'acte seul, pour "la chose" (ainsi que vous dites). Je vous aime aussi avec mon coeur et mon esprit. Ne me blessez pas trop ou, avant de le faire, pensez-y plus profondément. Je n'étais pas qu'un animal ! Enfin pas sans cesse.»

Lettre d'amour d'un soldat de vingt ans. Jacques Higelin. Éditions Grasset & Fasquelle (1987)

PBF 2019.15T : DirectLive du 29 mai 2019

Mercredi 29 mai 2019 à 19H sur Radio-Radio, (en hertzien Toulouse : 106.8 Mhz ou sur https://www.radioradiotoulouse.net) nouveau DirectLive avec Jeanne Tympa au studio de RadioRadio à Toulouse, le deuxième de mai. C'est un bon mois !


Liste de lecture :

1. Cet été c'était toi (Les Charlots)
2. Immigrant song (Quelques fiers Mongols)
3. Georges et Martha
4. Just take me (Status quo)
5. Smerenka (Mad Heads)
6. Les Mangeux d'terre (Pierron / Couté)
7. Il me semble (Aurore Lerat)
8. Meuh font les vaches
9. Serre-moi (Jacques Higelin)
10. Mandarine (Nicole Rieu)
11. Angora (Alain Bashung)
12. Chrysler rose (Daniel Hayatt / Gong)

13. Show me the way (Peter Frampton)

Pour ceux qui auraient piscine indienne, ou toute autre obligation, il y a une possibilité de rattrapage avec tous les podcasts de la PBF. Attention l'émission qui correspond à cette publication est le plus bas de la liste : PBF 2019.14T https://www.mixcloud.com/…/playl…/petite-boutique-fantasque/

Hommage à Jean Vilar


dimanche 26 mai 2019


«Marc figure-t-il vraiment au petit nombre des talentueux artistes qui, par un oeuvre exemplaire, frayèrent la voie à une époque, ou sa création demeure-t-elle, au bout du compte, une forme particulière qui ne fut qu'un détour. »

Curt Glaser (1916)

«Un tableau (au départ une surface vide toute bête) est recouvert, au cours de son élaboration, par un réseau rythmé de couleurs, de lignes et de points qui évoque sous sa forme définitive une somme de mouvements vivant. L'oeil saute d'un bleu au rouge, au vert (même un simple changement de forme), à une ligne noire, tombe sur une arête blanche surgie à l'improviste, la suit, se fond dans une tache délicate d'où s'échappent de petites taches rouges, les petites taches rouges se métamorphosent en vertes et soudain le regard croise à nouveau le bleu, rouge, vert, cette fois distrait par d'autres formes, recommençant nouveau cycle. Des parties entières apparaissent chaudes, orange, cinabre, d'autres froides, noir, bleu, blanc, gris. Il est impossible de percevoir ça d'un seul coup. Le temps est indissociable du plan.»

Lettre à Eberhard Grisebach. August Macke (20 mars 1913)

mercredi 22 mai 2019

PBF 2019.14T : L'oblique pudeur du père




Mercredi 21 mai 2019 à 19H sur Radio-Radio, (en hertzien Toulouse : 106.8 Mhz ou sur https://www.radioradiotoulouse.net) dans la Petite Boutique Fantasque Catherine Kauffmann Saint-Martin présentera la nouvelle saison estivale de Musique en dialogue au Carmélites.



Liste des morceaux diffusés :

1) La Chabraque (Pia Colombo) 
2) Polo (Manuel de Falla) joué par Carmen Martinez 
et Angel Luis Quintana 
3) El Pano moruno (Manuel de Falla) joué par Carmen Martinez 
et Angel Luis Quintana 
4) Valzer (Clara Schuman) chanté par Organe Moretti, 
accompagné par Hya Rashkovskiy 
5) Rafaga (Turina) joué par Sébastien Llinares 
6) Les Berceaux (Gabriel Fauré) joué par Elsa Grether 
et François Dumont 
7) Pantoun (Maurice Ravel) par Denis Pascal 
et Svetlin Roussev
8) Danse chinoise (Tchaïkovsky) tirée de Casse noisette, 
transcription pour piano jouée par Cyril Guillotin
9) Difficult blues (Solal / Lockwood)
10) Achey sham rai (Parvathy Paul)
11) Blues in the morning (Keith Richards) 

Pour ceux qui auraient piscine indienne, ou toute autre obligation, il y a une possibilité de rattrapage avec tous les podcasts de la PBF. Attention l'émission qui correspond à cette publication est le plus bas de la liste : PBF 2019.14T https://www.mixcloud.com/…/playl…/petite-boutique-fantasque/

Photographie : Sabine Weiss

dimanche 19 mai 2019


«Voilà un de mes objectifs : avoir 10000 ans et retrouver ma tête de l'âge de 21 ou 35 ans.»

Vingt chefs-d'oeuvre sur mon évolution à travers la méthode isouienne d'allongement de la vie jusqu'à l'éternité concrète de la société paradisiaque du cosmos. Isidore Isou

lundi 13 mai 2019

PBF 2019.13P : Docks, poubelles et mer à New York

Mercredi 15 mai 2019 à 19H sur Radio-Radio, (en hertzien Toulouse : 106.8 Mhz ou sur https://www.radioradiotoulouse.net). Nouvelle émission parisienne qui introduira le réalisateur expérimental flamand Émile Degelin auteur du très beau Si la sirène te fait peur en 1961 et l'étonnant Y mañana (1966) avec l'inénarrable Jacques Dufilho dans un de ses grand rôle quasi muet. 

Liste des morceaux diffusés :

1) Sea of love (The National)
2) Hallowed by thy name (Cradle of fifth)
3) Extrait de Docks d'Émile Degelin (1955)
4) The eureka springs (GTO's)
5) Mad rush (Philip Glass) par Adelaïde Ferrière
6) Notre Père (Maurice Duruflé) par le Belmondo quintet
7) The sound of silence (Pat Metheny)

Pour ceux qui auraient piscine indienne, ou toute autre obligation, il y a une possibilité de rattrapage avec tous les podcasts de la PBF. Attention le dernier est le plus bas de la liste  : https://www.mixcloud.com/JeanPatin/playlists/petite-boutique-fantasque/

dimanche 12 mai 2019

«Avec Foujita, les faits nous ont rapporté le résultat suivant : une série d'images de notre cadre du quotidien dont les détails comme l'ensemble sont une révélation ; quand avec son pinceau (qui équivaut souvent à une plume ou à un burin) il rend nos banlieues, nos coins de villes, nos paysages, nos enfants, nos animaux domestiques, nos intérieurs, ont l'impression de les apercevoir à travers le circuit étrange qui rajeunit notre vue, accentue notre capacité de distinction, nous révèle des parcelles de vie négligées depuis notre enfance observatrice.»

Foujita In Amour de l'art. Fritz René Vanderpyl (1921)

Visionnage toulousain en salle (7)


«Avant même que s’en soit écoulée la première demi-heure, l’intrigue et les enjeux du nouveau film d’André Téchiné sont posés : que faire lorsqu’un membre de votre famille devient soudainement religieux pratiquant ? C’est son droit le plus strict, dira-t-on à raison. Mais quand il projette de quitter la France pour partir faire le djihad, c’est une autre histoire. Cette histoire est celle de Muriel (Catherine Deneuve), qui découvre que son petit-fils Alex (Kacey Mottet-Klein) s’est fait manipuler par sa petite amie Lila (Oulaya Amamra), adepte du prosélytisme islamiste sur internet, et va tout faire pour le sauver… malgré lui. 

La mise en scène de Téchiné reste maîtrisée et reconnaissable : le choix d’un centre équestre en pleine campagne pour situer son récit atteste une nouvelle fois du goût du réalisateur pour la ruralité. Ce cadre provincial et bucolique contraste subtilement avec la gravité du sujet traité et le déroulement nerveux et tendu du récit, visuellement traduits par la caméra à l’épaule, toujours en mouvement, les longs travellings et les grands panoramiques : l’urgence d’Alex pour rejoindre le djihad face à celle de Muriel pour l’empêcher de partir.
L’Adieu à la nuit n’est pas un film religieux, ni islamophobe. Au contraire, le récit s’attache à montrer que le radicalisme islamiste relève moins de la religion que de la volonté de donner un sens à son existence, de s’accomplir et d’être reconnu. Détruit par la mort de sa mère, Alex trouve dans la religion une source d’espoir, et comme dit l’expression, l’espoir fait vivre.

L’islam n’est pas l’islamisme, en témoignent les personnages de Youssef et de Fouad : le premier, farouchement opposé au fondamentalisme et à l’intégrisme, a refusé d’engager le second, djihadiste repenti, dans le centre équestre qu’il dirige avec Muriel, considérant qu’il a sali la religion musulmane. Muriel partira cependant à sa recherche, afin de le convaincre de résonner Alex et de le dissuader de quitter la France.
Voilà un film qui pose de bonnes questions : comment des personnes non-religieuses finissent-elles par éprouver, un jour, le désir de tuer au nom d’un dieu ? Il n’y a pas de réponse définitive et c’est en cela que la radicalisation islamiste, qui stigmatise l’islam, reste un sujet tabou dont il faut pourtant parler. C’est pourquoi l’on saluera aussi l’engagement des comédiens, courageux d’interpréter de tels personnages.»

L'adieu à la nuitAndré TéchinéCuriosa Films / Bellini Films / Arte France Cinema / ZDFArte / Legato Films / Films boutique (2019) sur le site aVoir-aLire.com

samedi 11 mai 2019

«À la fin des années 1920 et au au début des années 1930, l'attitude envers la culture du passé devient le point central des discussions idéologiques sur l'art. Peu à peu, l'art d'avant-garde commence à être considéré comme nihiliste et essentiellement destructeur. Son aspiration pour le point zéro, pour un nouveau départ radical, est considérée de plus en plus comme dirigée non pas contre le passé, mais contre la nouvelle société socialiste et ses modes de vie nouveaux, quoique déjà relativement bien établis. En même temps, la culture soviétique entame un processus d'appropriation des "meilleures réalisations" de la culture du passé, qui en vient à être regardée (contrairement à ce que l'on appelle la "sociologie vulgaire") non pas comme un symbole de domination des classes dirigeantes mais plutôt comme le résultats du travail créatif de gens ordinaires et l'expression de leurs aspirations et de leurs espoirs. En conséquence, le prolétariat est proclamé héritier légitime de "tout ce qui a été crée de mieux" par l'humanité tout au long de son histoire. Dans cette perspective, le rejet de la culture du passé par l'avant-garde, apparaissait comme la manifestation d'un mépris pour le prolétariat, du rejet de son droit à hériter des valeurs culturelles du passé...»

Rouge : art et utopie au pays des Soviets. Boris Groys, Jacques Rancière. Réunion des musées nationaux (2019)
«J'ai vu travailler Bresson dans Un condamné à mort s'est échappé. Je suis contre sa méthode, non parce qu'il ne parvienne pas à des choses rares, mais parce qu'il y parvient après un tel travail que je n'en vois pas l'intérêt. Avec un acteur, il y parviendrait beaucoup plus vite. Mais Bresson ne peut supporter qu'un acteur lui apporte quelque chose. Il a besoin de l'acteur comme d'une espèce de vide, de néant, auquel il infuse, il insuffle tout. C'est, de sa part, un problème psychologique, avant d'être un problème esthétique.»

Entretien avec Robert Planchon. Claude Gauteur. Cahiers du cinéma n° 129 (1962)

mercredi 8 mai 2019

«Cette idée de Rousseau que les hommes naissent en sachant tout est une idée de littérateur. Nous naissons en ne sachant rien. Nous avons en nous des tas de possibilités. Mais quel travail pour les découvrir. Moi, il m'a fallu vingt ans pour découvrir la peinture. Vingt ans à regarder la nature et surtout aller au Louvre. Et quand je dis découvrir ! J'en suis encore au début et je passe ma vie à me fiche dedans. Prenez un paysan d'Essoyes et faites-lui entendre le chef-d'oeuvre des chefs-d'oeuvres, le Don Juan de Mozart, il s'ennuiera à crever et préférera un air de café-concert, et cela malgré cet hypocrite de Jean-Jacques Rousseau. alors c'est bien simple, il faut commencer par le café-concert, mais le choisir bon.

Pierre Auguste Renoir, mon père. Jean Renoir. Editions Gallimard (1981)

mardi 7 mai 2019

«Il arrive que le reniement de la Muse carienne (comme l'appelant le septième livre des Lois et Clément d'Alexandrie) nous soit inspiré non point par des soucis pédagogiques, mais par la passion anti-musicale et par le ressentiment. Sans doute Nietzsche a-t-il beaucoup aimé ce qu'il renie, sans doute est-il encore secrètement amoureux des filles-fleurs de son enchantement ; comme tous les renégats, celui qui renia le romantisme de Wagner, renia le pessimisme de Schopenhauer, blasphéma jusqu'au moralisme de Socrate, celui-là tient encore à son propre passé et prend une sorte de plaisir à se faire mal à lui-même... Aussi y-a-t-il un côté d'ambivalence passionnelle, de haine amoureuse et même un masochisme dans la rancune de Nietzsche contre l'éternel féminin musical !»

La musique et l'ineffable. Vladimir Jankélevitch. Editions du Seuil (1983)
«Même quand j'ai fait des choses qui semblaient très éloignées de la vision directe d'après nature, ce n'était qu'un moyen pour s'en approcher. Donc une nécessité de travail pour mieux arriver à voir la nature.»

Alberto Giacometti (1956)
«La petite église si différente de celle que tu connais. Pendant la messe, tu penses à cette mère enfermée dans le cercueil. Tu voudrais voir son visage, ses yeux. Et pourquoi était-elle malade ? Tu voudrais prier pour elle, mais en cet instant, tu ne sais plus tes prières. Tu songes à ta mère, celle près de laquelle tu vis. Tu te retiens de pleurer.
Quand le cortège arrive près de la batteuse, le ronflement du moteur s'arrête. Les hommes se figent, enlèvent leur casquette, inclinent la tête le temps que passe le corbillard. Le petit cimetière parmi les champs. Plus loin, le marais. Les tas de terre de part et d'autre de la fosse. Les pleurs étouffés des femmes. Le bruit des pelletées de terre jetées sur le cercueil et qui retentissent longuement dans la tête. Depuis ce jour de tes sept ans, tu n'as jamais aimé l'été.»

Lambeaux. Charles Juliet. P. O. L. (1995)
«Je pourrais dire que c'est à ce moment-là, sur cette terrasse, dans la paix de cette soirée solitaire, que je suis devenue adulte. Adulte, c'est à dire affranchie de toutes les batailles mesquines de la vie quotidienne. Adulte, c'est à dire libérée des rancunes et des inquiétudes, tout au fond de moi-même. Adulte, c'est-à-dire sereine -au moins sur un court moment, qui laisserait sa marque, en dépit des oublis et des transgressions.»

Sous des dehors si calmes. Jacqueline de Romilly. Editions de Fallois (2002)

mercredi 1 mai 2019

«Mes demoiselles qui êtes des enfants particulièrement Françaises de la France, je ne doute pas que parmi tant d'objets d'étude qui vous sont offerts, vous ne vous intéressiez tout spécialement à la Littérature de notre pays, -qui est le plus littéraire du monde-, et le dernier peut être, où le souci de la forme demeure, -quoique déjà bien amoindri.»

Variété III, IV et V. Paul Valéry. Gallimard (1936-1944)

Réminiscence personnelle (36)

«Tu baignes dans le temps perdu et t'assiège l'angoisse de ne point devenir.»

Citadelle. Antoine de Saint-Éxupery. Gallimard (1959)

Suite au Dernier amour de Benoît Jacquot

«La Charpillon que tout Londres a connue, et qui, je crois vit encore, était une beauté à laquelle il était difficile de trouver un défaut. Ses cheveux étaient châtains clairs, ses yeux bleus, sa peau de la plus pure blancheur, et sa taille presque égale à celle de Pauline, comptant les deux pouces qu'elle devait gagner parvenant à l'âge de vingt ans, car elle n'en avait alors que dix sept. Sa gorge était petite, mais parfaite, ses mains potelées, minces, et un peu plus longues que les ordinaires, ses pieds mignons, et sa démarche sûre et noble. Sa physionomie douve et ouverte indiquait une âme que la délicatesse des sentiments distinguait, et cet air de noblesse qui ordinairement dépend de la naissance. Dans ces deux seuls points la nature s'était plue à mentir sur sa figure. Elle aurait dû plutôt n'être vraie que là, et mentir dans tout le reste. Cette fille avait préméditée le dessin de me rendre malheureux même avant d'avoir appris à me connaître ; et elle me l'a dit.»

Histoire de ma vie. Jacques Casanova de Seingalt. Robert Laffont (2006)

270 : Ne pas condamner tout seul ce qui plaît à plusieurs

«Car il faut qu'il y ait quelque chose de bon, puisque tant de gens en sont contents ; et bien que cela ne s'explique point, on ne laisse pas d'en jouir. La singularité est toujours odieuse, et lorsqu'elle est mal fondée, elle est ridicule. Elle décriera plutôt la personne que l'objet, et par conséquent, on restera seul avec son mauvais goût. Que celui qui ne sait pas discerner le bon, cache son peu d'esprit, et ne mêle pas de condamner à la volée ; car le mauvais goût naît ordinairement de l'ignorance. Ce que tout le monde dit est, ou veut être.» 

L'art de la prudence. Balthasar Graciàn. Rivages poche, petite bibliothèque (1994)

PBF 2019.12T : DirectLive du 1er mai 2019

Mercredi 1er mai 2019 à 19H sur Radio-Radio, (en hertzien Toulouse : 106.8 Mhz ou sur https://www.radioradiotoulouse.net). Le site est toujours en pleine transformation ! Vous allez le trouver changé. N'hésitez à me faire part des problèmes, difficultés ou interrogations que vous pourriez rencontrer. Nouveau DirectLive avec Jeanne Tympa au studio de RadioRadio à Toulouse sur le trafic automobile Rue de la République, et par extension les transports. Merci à l'équipe de Jahman émission qui nous a très gentiment laissé la place pour le direct alors qu'ils étaient en train d'enregistrer.  Cela fait plaisir de croiser du monde dans le studio de la radio !

Liste des morceaux diffusés :

1) Le moteur à explosion (Chanson + bifluorée)
2) Mercedez Benz (Janis Joplin)
3) 48 crash (Suzi Quatro)
4) Always crashing in the same car (David Bowie)
5) Moby Dick (Led Zeppelin)
6) Faraway eyes (Rolling Stones)
7) Like a hurricane (Roxy Music)
8) La ceinture (Frères Jacques)
9) La tire à Dédé (Renaud)
10) Locomotive d'or (Claude Nougaro)

Pour ceux qui auraient piscine indienne, ou toute autre obligation, il y aura possibilité de rattrapage avec les podcasts probablement là : https://www.radioradiotoulouse.net/emissions-podcasts.