«L'opéra m'apparaissait un chaos, un usage désordonné de parties lyriques, orchestrales, dramatiques, mimiques, plastiques, chorégraphiques, un spectacle, en somme, grossier, puisque rien ne commandait l'entrée en jeu et le contraste des puissances diverses, que rien n'en limitait l'action, et que le tout de l’œuvre était livré aux inspirations divergentes du librettiste, du musicien, du chorégraphe, du peintre des décors, du metteur en scène et des interprètes.»
Variété III, IV et V. Paul Valéry. Gallimard (1936-1944)
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