«- Jean-Luc t'aime, vraiment, profondément. J'étais inquiet pour lui avant votre rencontre. Il avait des papillons noirs dans la tête, une sorte de désespoir que rien ne pouvait apaiser et dont il ne parlait pas. Il n'est pas fait pour vivre seul, il a besoin de son "complément", comme le dit si bien Aristophane. Et puis tu es venue et il s'est métamorphosé.»
Un an après. Anne Wiazemsky. Editions Gallimard (2015)
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