«Le titre de ce recueil n'est pas de moi : il est emprunté à un poème d'un auteur qui m'a toujours été cher, Tristan Derème. Ce poème figure dans La Verdure dorée, sous le numéro 128, et commence par les mots "Mes trompettes adolescentes ont déchiré l'ombre décente..." Il écrit, en effet :
Jean Pellerin, Jean Pellerin,
Pour la gloire j'ai pris le train,
Mais chanteur ivre de lumière,
Je suis tombé par la portière :
Et me voilà sur le talus,
Là-bas, le train ne paraît plus,
Et je goûte, suave étude,
Les roses de la solitude.»
Les Roses de la solitude. Jacqueline de Romilly. Editions de Fallois (2006)
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