«Bien que le soin que vous avez de tout temps de conserver votre virginité, vous empêche de prendre connoissance des doux engagemens du mariage, & de sentir le saint désir d'élever des enfans : Toutesfois, chastes Muses, (car que puis-je entreprendre sans votre secours divin ?) j'implore ici votre assistance, & je n'attends que de vos faveurs la récompense que je cherche en enseignant dans mes vers quel soin l'on doit avoir des enfans nouvellement nez, dés que leur foible corps commence à demander des aliments qui puissent en augmentant peu à peu leur chaleur naturelle, répandre dans leurs membres delicats de nouvelles forces.»
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