«Enfin il y avait encore deux accordéons. Ma parole, je n'avais jusqu'alors aucune idée du parti qu'on pouvait tirer de ce grossier instrument populaire ; l'harmonie des sons, le jeu, surtout l'expression, la compréhension, le rendu parfait des motifs, étaient véritablement extraordinaires. C'est là que je compris pour la première fois quel abandon infini, quel amour du risque recèlent les airs de danse si entraînants de la Russie.»
Souvenirs de la maison des morts. Dostoïevski. Editions Gallimard (1950)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire