«Nous répugnons désormais, en modernes impénitents, à tenter de donner une représentation physique de l'âme et de ses accessoires. Etrange recul du matérialisme : on scrute le cerveau, on compte ses cellules, on localise ses fonctions, mais on n'a pas la moindre idée de l'allure générale que pourrait revêtir la pensée en tant qu'organe.»
La Métaphysique du mou. Jean-Baptiste Botul. Mille et une nuits (2007)
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