«Cette absence complète de romantisme, cette sorte d'indolence du rythme, la douce, expressive, fine et nonchalante persuasion qui s'en dégageait, le retour, par des voies originales, à d'anciennes traditions françaises et les nostalgiques évocations du Passé que Debussy devait reprendre quelques années après, -nous percevons zen ce jour, par le recul du temps, tout ce qu'il y avait d'invention chez le précurseur.»
La Revue musicale. Article de Charles Koechlin cité dans Erik Satie. Jean-Pierre Armengaud. Fayard (2009)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire