« Les hommes autour de nous, les animaux, les paysages, sont des chefs-d'oeuvre de rythmes, de formes, et le vieux besoin atavique de reproduire de rendre ce qui frappe nos sens, tient toujours bon chez nous. […] Celui qui se réjouit du rythme dans la nature est déjà artiste […], l'est beaucoup plus que celui qui cherche à rendre soit photographiquement ou en y ajoutant des éléments arbitraires ou en déplaçant l'ordre des choses.»
Le chemin vers l'amorphe. Frantisek Kupka in
Kupka, pionnier de l'abstraction, RMN (2018)
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