«Lully trouva la musique française très défectueuse et souvent même barbare. Avec tout cela, instruit de l'honneur de ses compatriotes du génie de leur langue, et des mauvais tons auxquels leurs oreilles étaient accoutumées, il ne prétendit pas anéantir la musique française et mettre l'italienne à sa place, mais il s'attacha uniquement à la polir et à l'orner d'un nombre infini de graves et de modulations qu'il emprunta à la dernière. La musique française est devenue ainsi parfaite en son genre.»
Le Spectateur. Londres (1765)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire