«Le vent se lève !… Il faut tenter de vivre !
L’air immense ouvre et referme mon livre,
La vague en poudre ose jaillir des rocs !
Envolez-vous, pages tout éblouies !
Rompez, vagues ! Rompez d’eaux réjouies
Ce toit tranquille où picoraient des focs ! »
Le Cimetière marin. Paul Valéry. Larousse (2016)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire