«Dans le même esprit, apparemment, un Sybarite déclarait, à propos des Spartiates : "Ils n'ont pas grand mérite à affronter la mort au combat pour échapper à tant de fatigues et à une existence si pénible." Mais les Sybarites, chez qui le luxe et la mollesse avaient effacé tout désir d'honneur et de gloire, jugeaient apparemment que c'était haïr la vie que de ne pas craindre la mort.»
Vies parallèles : Pélopidas. Plutarque. Quarto Gallimard (2011)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire