«Notre Maurice Utrillo a eu le grand bonheur de rester un "gosse" et je constate, en m'en réjouissant pour lui, que cela provoque parfois la pitié d'individus fermés à toute la poésie de l'univers, parce qu'il lui fut donné de préserver sa spontanéité instinctive de tous les pièges que peut lui tendre la vie, il est demeuré un grand peintre.
Yvanhoé Rambesson. In Valadon / Utrillo : au tournant du siècle à Montmartre. De l'impressionnisme à l'Ecole de Paris. Editions Pinacothèque de Paris (2009)
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