«Un pays exclusivement occupé d'intérêts matériels, sans patriotisme, sans conscience, où le pouvoir est sans force, où l'élection n'élève que les médiocrités, où la force brutale est devenue nécessaire contre les violences populaires, et où la discussion, étendue aux moindres choses, étouffe toute action du corps politique, où l'argent domine toutes les questions...»
Introduction sur Catherine de Médicis. Honoré de Balzac. Club français du livre (1964)
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