«Parapine, ce qu'il a trouvé d'abord en me revoyant, c'est que j'avais pas bonne mine.
"T'as dû te fatiguer toi, là-bas à Toulouse", qu'il a remarqué, soupçonneux, comme toujours.
C'est vrai qu'on avait eu des émotions là-bas à Toulouse, mais enfin, fallait pas se plaindre, puisque je l'avais échappé belle, du moins je l'espérais, aux vrais ennuis, en me défilant au moment critique.»
Voyage au bout de la nuit. Louis-Ferdinand Céline. Éditions Gallimard (1952)
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