«Si l'on voulait caricaturer, on dirait de la femme qu'elle est aujourd'hui juridiquement dépendante de son mari ivrogne, moralement dans les mains boudinées de son confesseur et quotidiennement soumise à ses enfants ingrats. Sans droit de vote, elle demeure pour la société une femme enfant que les hommes voient comme une première communiante attardée.»
Landru, précurseur du féminisme : correspondance inédite 1919-1922. Henri-Désiré Landru et Jean-Baptiste Botul. Mille et une nuits (2001)
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