«J'ai
perdu ce qui faisait de moi un poète, et je suis devenue un être avec
toutes les paresses, toutes les lâchetés, tous les désirs des êtres que
la vie a domestiqués, asservis dans son poing de fer, courbés sous le
joug de l'argent, de l'amour, de l'ennui.»
Journal 1919-1924. Mireille Havet. Éditions Claire Paulhan (2005)
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