«Ces lieux [les cabarets] ont été infiniment décrits. C’est toujours le même archaïsme de camelote et de bric-à-brac : vitraux en cul de bouteilles, lambris échappés au sac des faubourgs, crédences, bahuts, panoplies, faïences, fer forgé, tapisseries en chiendent des Gobelins et peintures du prochain siècle ; le tout ordinairement exaspéré par une imagination de Jocrisse et des lectures de cabotin, avec l’aggravation caractéristique d’un instinct de bas brocanteur.»
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