«Pas un seul d'entre vous n'a eu la pensée de demander à Dieu de vous rendre Inger." [...] Non c'est vous qui le blasphémez par votre tiédeur. (...) Pourquoi n'y a t-il parmi les croyants personne qui croie ? [...] Inger tu dois pourrir parce que les temps sont pourris. [...]
-L'enfant ce qu'il y a de plus grand au royaume des cieux ! Crois-tu que je saurais le faire ?
- Oui mon oncle.
- Ta foi est grande. Qu'il soit fait comme tu le veux. Regarde ta mère. Quand je prononcerai le nom de Jésus, elle se lèvera.»
Ordet. Carl Theodor Dreyer. (1955)
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