«Je suis ravi de la tempête que j'ai provoquée. C'est notre spécialité. Le jour du vernissage de cette exposition (à minuit), la rue Bonaparte était militairement investie par quelques policiers. La salle aussi. Les tableaux ont dû être assurés. Plus de mille personnes sont venues, bien qu'il ait neigé ce jour-là. [...]
P.S. : emmerder les cons voilà ce qui m'intéresse le plus.»
Lettre à Sebastia Gasch. Joan Miro.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire