«La fête serait détestablement “commerciale” (alors que le consumérisme ordinaire tend désormais à être rejeté). Ses décors obligés seraient écoeurants de désuétude (alors que nous sommes en quête d’originalité et d’esthétique créative). La Saint-Valentin imposerait l’amour à date fixe (alors que ce qui caractérise le sentiment est qu’il surgit à sa guise). Elle serait collectiviste (alors que le je-sujet veut désormais être seul maître de sa vie).»
Saint-Valentin, Mon amour ! Jean-Claude Kaufmann. Les liens qui libèrent (2017)
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